« Sans les mauvaises filles, les époques n’avancent pas. Elles sont des pionnières, nécessaires à la marche du monde. »
Loin, à l’ouest est l’histoire de quatre mauvaises filles. Georges, que sa mère a prénommée ainsi pour qu’elle ait « une vie d’homme », Lucie, sa belle-fille, qu’elle a haïe puis aimée, Solange, sa petite-fille à la beauté singulière, et puis son arrière petite-fille, Octavie, qui tente aujourd’hui de résoudre le « mystère Georges » à l’aide d’Internet.
On y croise aussi Louise Michel, et Calamity Jane.
Avec elles, on traverse plus d’un siècle du point de vue des femmes.
Ces femmes gigognes disent quelque chose de l’existence corsetée qu’on a cherché à leur imposer et du goût de l’imaginaire, seul capable de les sauver. Quel est le poids d’un prénom, d’un nom, d’une famille, d’un livre, sur un destin ? Que choisit-on, que réécrit-on ? A-t-on le droit le réinventer sa vie ?
Raconter leur histoire, leur part de vérité et de réinvention, c’est faire un éloge du mensonge, parce qu’il rend la vie plus belle, et que parfois, il préserve de l’oubli. C’est ériger la fiction en reine, parce qu’elle permet à chacun de faire le récit de sa vie.
Ce livre, cette saga, est avant tout une célébration de l’imaginaire.
Loin, à l’ouest est l’histoire de quatre mauvaises filles. Georges, que sa mère a prénommée ainsi pour qu’elle ait « une vie d’homme », Lucie, sa belle-fille, qu’elle a haïe puis aimée, Solange, sa petite-fille à la beauté singulière, et puis son arrière petite-fille, Octavie, qui tente aujourd’hui de résoudre le « mystère Georges » à l’aide d’Internet.
On y croise aussi Louise Michel, et Calamity Jane.
Avec elles, on traverse plus d’un siècle du point de vue des femmes.
Ces femmes gigognes disent quelque chose de l’existence corsetée qu’on a cherché à leur imposer et du goût de l’imaginaire, seul capable de les sauver. Quel est le poids d’un prénom, d’un nom, d’une famille, d’un livre, sur un destin ? Que choisit-on, que réécrit-on ? A-t-on le droit le réinventer sa vie ?
Raconter leur histoire, leur part de vérité et de réinvention, c’est faire un éloge du mensonge, parce qu’il rend la vie plus belle, et que parfois, il préserve de l’oubli. C’est ériger la fiction en reine, parce qu’elle permet à chacun de faire le récit de sa vie.
Ce livre, cette saga, est avant tout une célébration de l’imaginaire.
Disponible sous 3/4 jours
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EAN
9782246824190
Éditeur
GRASSET
Collection
Martine saada
Date de parution
08/2021
Format
35 mm x 235 mm x 153 mm
Nombre de pages
528
Presentation
Broché
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La Griffe Noire BD
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